À propos

Moi Vincent Brizard,
je suis vidéaste de mariage et voici mon histoire

 

Je m’épanouis depuis 6 ans maintenant en créant des films, des vidéos, autant pour les entreprises que pour les particuliers, mais il n’en a pas toujours été ainsi.

Cette passion de l’image m’est venue il y a environ 10 ans maintenant. À l’époque, j’étais un jeune ouvrier, travaillant dur sur les chantiers, métier que je faisais par besoin alimentaire plus que par passion même si j’éprouvais un certain plaisir à rénover des intérieurs pour les rendre plus beaux.

Déjà à l’époque c’était une forme de création qui m’animait, et voir le sourire de mes clients à la fin du chantier était une grande récompense, on peut dire que je fais mon métier maintenant avec les mêmes motivations.

Cependant, je ne m’épanouissais pas dans ce métier dur, salissant, éprouvant pour le corps. Les jours passaient et j’allais souvent au travail à reculons, je rentrais le soir épuisé les mains meurtries.

Il m’a fallu du temps avant de me convaincre qu’une autre vie était possible, et grâce à ma compagne qui m’a apporté un soutien sans faille, j’ai réuni de quoi investir dans du matériel vidéo et j’ai acheté ma première caméra.

Je m’en souviens très bien c’était un Canon 5D Mark II accompagné d’un objectif 50mm, une caméra mythique qui à provoqué l’avènement de l’utilisation des appareils photos reflex dans les années 2000 et plus tard des hybrides.

Un ami vidéaste me l’a vendu pour une bouchée de pain, il fait partie de ceux qui m’ont permis d’être là où j’en suis maintenant.

Caméra en main, je filmais des concerts, je connaissais bien l’équipe d’une salle de concert et grâce à eux, j’ai réalisé mes premiers aftermovie et j’ai pu apprivoiser ma caméra !

Je continuais à travailler pendant ce temps-là et j’attendais d’être sûr pour me lancer vraiment.
Ce jour est arrivé plus vite que je ne l’aurais cru. En effet, j’ai été contacté par un festival qui cherchait un vidéaste pour réaliser leur aftermovie, ils avaient vu mon travail et avaient envie de travailler avec moi. Quelle satisfaction que d’être reconnu et demandé !

C’est là que je me suis dit qu’il était temps de franchir le pas. Mon contrat tirait à sa fin, les étoiles s’alignaient enfin devant moi.
J’ai donc créé mon entreprise, investi l’argent qu’il me restait dans du matériel supplémentaire et j’ai croisé les doigts !

Après une première année laborieuse, j’ai décidé de me spécialiser dans la transition écologique et les énergies renouvelables, il m’est apparu essentiel d’associer principes et travail. À quoi bon être indépendant si ce n’est pas pour choisir de travailler pour une cause à laquelle on croit ?

J’ai commencé à travailler avec des entreprises avec qui je partage les principes de respect du vivant, d’éthique et d’écologie, des entreprises qui font le choix de travailler avec un vidéaste éco-responsable afin d’être cohérent de A à Z dans leur démarche.

Que ce soit dans le choix de la banque, du fournisseur d’électricité ou encore dans mon appartenance à l’organisme 1% For The Planet, je me considère comme un vidéaste éco-responsable et j’en suis fier !

J’ai travaillé pour beaucoup d’entreprises, en faisant essentiellement des captations de conférences, des interviews, des films d’entreprises… À la longue, j’ai commencé à trouver cela frustrant, je ne retrouvais pas le frisson que je ressentais lors des concerts. Le fait de devoir me confirmer à un cahier de charges trop précis, ne pas avoir de place pour l’improvisation et la création pure, me donnait le sentiment de retrouver un job alimentaire.
À ce moment-là, je découvre alors le monde du mariage et les films de mariage contemporains, bien loin du reportage de tonton Albert avec son caméscope.

Je suis conquis tout de suite par la liberté de création et le côté cinématographique des images. Les gens sont beaux, les lieux sont beaux, tout le monde est de bonne humeur, tout est réuni pour créer de formidables images.
J’ai retrouvé dans le métier de vidéaste de mariage cette étincelle qui m’avait poussé à vivre de ma passion.

J’ai commencé par réaliser des films de mariage dans la région du soleil, des oliviers et de la French Riviera, j’ai nommé Le Sud !

J’y ai fait beaucoup de belles rencontres et de magnifiques mariages.

Malgré ça, le soleil et le mistral ont eu raison de moi et nous avons décidé de rejoindre le Jura, ses montagnes et ses lacs grandioses.

Depuis, je continue de travailler avec des couples pour créer des films de mariage inoubliables et je suis constamment à la recherche de nouvelles idées, de nouvelles manières de vous offrir ce qu’il y a de plus précieux : la mémoire inaltérable de ce moment si beau et si fugace qu’est l’union de deux êtres, réunis par l’amour.

Moi Vincent Brizard,
je suis vidéaste de mariage et voici mon histoire

 

Je m’épanouis depuis 5 ans maintenant en créant des films, des vidéos, autant pour les entreprises que pour les particuliers, mais il n’en a pas toujours été ainsi.

Cette passion de l’image m’est venue il y a environ 10 ans maintenant. À l’époque, j’étais un jeune ouvrier, travaillant dur sur les chantiers, métier que je faisais par besoin alimentaire plus que par passion même si j’éprouvais un certain plaisir à rénover des intérieurs pour les rendre plus beaux.

Déjà à l’époque c’était une forme de création qui m’animait, et voir le sourire de mes clients à la fin du chantier était une grande récompense, on peut dire que je fais mon métier maintenant avec les mêmes motivations.

Cependant, je ne m’épanouissais pas dans ce métier dur, salissant, éprouvant pour le corps. Les jours passaient et j’allais souvent au travail à reculons, je rentrais le soir épuisé les mains meurtries.

Il m’a fallu du temps avant de me convaincre qu’une autre vie était possible, et grâce à ma compagne qui m’a apporté un soutien sans faille, j’ai réuni de quoi investir dans du matériel vidéo et j’ai acheté ma première caméra.

Je m’en souviens très bien c’était un Canon 5D Mark II accompagné d’un objectif 50mm, une caméra mythique qui à provoqué l’avènement de l’utilisation des appareils photos reflex dans les années 2000 et plus tard des hybrides.

Un ami vidéaste me l’a vendu pour une bouchée de pain, il fait partie de ceux qui m’ont permis d’être là où j’en suis maintenant.

Caméra en main, je filmais des concerts, je connaissais bien l’équipe d’une salle de concert et grâce à eux, j’ai réalisé mes premiers aftermovie et j’ai pu apprivoiser ma caméra !

Je continuais à travailler pendant ce temps-là et j’attendais d’être sûr pour me lancer vraiment.
Ce jour est arrivé plus vite que je ne l’aurais cru. En effet, j’ai été contacté par un festival qui cherchait un vidéaste pour réaliser leur aftermovie, ils avaient vu mon travail et avaient envie de travailler avec moi. Quelle satisfaction que d’être reconnu et demandé !

C’est là que je me suis dit qu’il était temps de franchir le pas. Mon contrat tirait à sa fin, les étoiles s’alignaient enfin devant moi.
J’ai donc créé mon entreprise, investi l’argent qu’il me restait dans du matériel supplémentaire et j’ai croisé les doigts !

Après une première année laborieuse, j’ai décidé de me spécialiser dans la transition écologique et les énergies renouvelables, il m’est apparu essentiel d’associer principes et travail. À quoi bon être indépendant si ce n’est pas pour choisir de travailler pour une cause à laquelle on croit ?

J’ai commencé à travailler avec des entreprises avec qui je partage les principes de respect du vivant, d’éthique et d’écologie, des entreprises qui font le choix de travailler avec un vidéaste éco-responsable afin d’être cohérent de A à Z dans leur démarche.

Que ce soit dans le choix de la banque, du fournisseur d’électricité ou encore dans mon appartenance à l’organisme 1% For The Planet, je me considère comme un vidéaste éco-responsable et j’en suis fier !

J’ai travaillé pour beaucoup d’entreprises, en faisant essentiellement des captations de conférences, des interviews, des films d’entreprises… À la longue, j’ai commencé à trouver cela frustrant, je ne retrouvais pas le frisson que je ressentais lors des concerts. Le fait de devoir me confirmer à un cahier de charges trop précis, ne pas avoir de place pour l’improvisation et la création pure, me donnait le sentiment de retrouver un job alimentaire.
À ce moment-là, je découvre alors le monde du mariage et les films de mariage contemporains, bien loin du reportage de tonton Albert avec son caméscope.

Je suis conquis tout de suite par la liberté de création et le côté cinématographique des images. Les gens sont beaux, les lieux sont beaux, tout le monde est de bonne humeur, tout est réuni pour créer de formidables images.
J’ai retrouvé dans le métier de vidéaste de mariage cette étincelle qui m’avait poussé à vivre de ma passion.

Depuis, je travaille avec des couples pour créer des films de mariage inoubliables et je suis constamment à la recherche de nouvelles idées, de nouvelles manières de vous offrir ce qu’il y a de plus cher et de plus adapté à vos envies : la mémoire inaltérable de ce moment si précieux et si fugace qu’est l’union de deux êtres, réunis par l’amour.